Après plusieurs séances de négociation, l’ACQ et l’Alliance syndicale ont, d’un commun accord, soumis une demande au ministre du Travail, le 28 janvier dernier, afin de nommer un conciliateur.

À la suite de cette demande, le ministère a procédé à la nomination d’un conciliateur le 29 janvier. Les négociations reprendront dans les prochains jours en présence du conciliateur afin de poursuivre les discussions en vue du renouvellement des conventions collectives.

L’objectif de recourir à la conciliation est de favoriser, à l’aide d’un spécialiste du ministère du Travail, la poursuite des échanges constructifs afin que les négociations progressent dans le respect des enjeux et problèmes présentés par les parties à la table de négociation.

Nous sommes persuadés que cette démarche nous permettra de poursuivre notre objectif commun : d’arriver à une entente négociée afin de renouveler les conventions collectives à leur échéance et dans la paix industrielle.

Dans le cadre de la négociation, les parties sont appelées à prendre en considération les enjeux, tant monétaires que normatifs reliés à l’organisation du travail.

Pour l’ACQ, les conventions collectives nécessitent une modernisation axée, notamment, sur la compétitivité et l’attractivité de l’industrie, sur une plus grande flexibilité de l’industrie afin de répondre à la forte demande ainsi que sur une bonification des dispositions favorisant la conciliation travail-famille. 

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